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Un message de l’au delà …
- Instant déconnecté de mon corps égaré …
- Idées confuses enfermées dans cette boite lugubre.
- Douleurs anciennes incessantes en ma chair flétrie.
- Souffrances figées de mon esprit ,en ce mardi du mois de juillet .
- Ornée de lettres dorées cette stèle,
- trône une vie passée et me prénomme, à jamais .
- Miséricordieux,
- Suspendu à cette corde.
- Je n’attendais plus rien …
- Peut être un halo ou deux ,à ses entrelacs.
- un répit de cette douleur à mon esprit ,
- douleurs qui s’effacent aux entrelacs de cette corde …
- Jadis, je vivais entouré de gens qui m’aimaient .
- Une vie plutôt facile, jour après jour…
- Bonheur toujours bien rangé dans mes placards ,
- Pour ne pas oublier …
- Ma vie à moi ,s’écoulait toujours du bon côté.
- Jusqu’au jour de ce fameux soir où tout bascula pour me briser ..
- Miséricordieux ,
- Suspendu à cette corde.
- Je n’attendais plus rien …
- Peut être , un halo ou deux , à ses entrelacs.
- Un répit de cette douleur à mon esprit ,
- Douleurs qui s’effacent aux entrelacs de cette corde …
- Fissures de mon âme à ce parterre, corps entendu dans le noir .
- Ma chair meurtrie sur le bitume mouillé nauséabond …
- Visage immaculé de sang , étouffant peu à peu ma conscience d’être humain.
- Honneur bafoué , corps boursoufflé de désespoir.
- De ces hommes sortis de nulle part pour quelques pièces de monnaies .
- Miséricordieux,
- Suspendu à cette corde .
- Je n’attendais plus rien …
- Peut être un halo ou deux , à ses entrelacs.
- Un répit de cette douleur à mon esprit ,
- Douleurs qui s’effacent aux entrelacs de cette corde…
- Seul, dans ma chambre le soir ,
- Épiant chaque ombre , je me recroquevillais dans mes draps .
- Restant attentif aux moindre bruits ricochant sur mes murs .
- Cette peur … cette peur.
- cette douleur constante a mon corps meurtri .
- Je me figeai dans mes draps,en imitant la mort …
- ces idées confuses me tourmentent chaque nuit.
- Il faut que cela cesse !!!
- OH!! Miséricordieux ,
- Suspendu à cette corde .
- Je n’attendais plus rien …
- Peut être , un halo ou deux , à ses entrelacs.
- Un répit à mes pieds au bord de cette chaise …
- Basculant mon esprit aux entrelacs de cette corde.
- soulagement de cette douleur à mon corps .
- De mon dernier souffle,
- j’entrevois enfin , un ou deux halos …
F et Mère : 28/07/2014
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