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- Il était une fois …. La France
- Mais où est cette France de nos années passées …
- De ses valeurs parsemées aux quatre coins de notre horizon , cette :
- « fraternité , égalité, liberté » tant compté ? Ce demanda-t-elle.
- Cette douce jeune fille en bas dentelés que la jeunesse lui souriait a pleine dent.
- Elle qui voulait vivre du savoir , d’une liberté et de l’abondance!!
- Aux coins de ses ruelles cimentés de la vie parisienne ,vie mondaine, vie païenne .
- Elle fut agressée, abusée , violée et dépouillée…
- Mais a qui la faute ?
- A personnes me diras t- on puisque la souffrance de ses guerres, fut leur l’abondance a eux.
- ah , oui!! 68,un lancé de pavés pour une liberté de ces intellos bourgeois frustrés,
- embarquant dans leurs folies, ces pauvres ouvriers pas prêts
- De cette Nouvelle ère technologique voulant améliorer notre société pragmatique, lol !!
- Mais, regardez !! cette jeune femme, aux bas effilés, pieds nus sur ce chemin sinueux.
- De ces pieds immaculés de ce mélange de sable, de pierres et de ciments.
- lui avons-nous tailladés ses membres puis laissés comme festin à ses chiens , consciemment ?
- Mais a qui la faute ?
- Elle, lasse de tout ça, meurtrie par tant de perverses attitudes.
- ouvrit les veines ,déversant à la vue du monde entier ,son sang.
- Sa vie s’éparpilla sur sa robe blanche d’une nation essoufflée.
- De ses pères qui pleurent pour l’avenir de leurs enfants .
- De ses pauvres médecins sans frontières, essayant de les garder en vie.
- Il n‘y a plus rien a faire, leur dit elle !
- Mais a qui la faute ?
- La Mienne ? Oui , la mienne …
- Non , a « Vous » ? Dit-elle …
- A ceux qui m’ont bafoué , souillé et vendu aux plus offrant …
- OUI !! Vous, mes assassins directe de cette soif monétaire …
- Quand a vous…. mon sang ,mon Peuple qui coule dans ce corps appauvris.
- Vous!! nourrissant encore mon cœur, luttant ardemment à mes cotés .
- Je vous entend crier.
- OUI!!! Je vous entend crier de souffrance , de famines et d‘injustice.
- Dans mon dernier souffle de vie , je vous délivre de ce fardeau impalpable ,
- de cette violence immorale.
- « Je vous dis Adieu ! »
- Ne restais plus accroupis au dessus de ma dépouille.
- NON !...Ne pleurais plus.. je vous en prie…
- Tel est mon amour pour vous, ma dernière volonté.
- Partez avec vos enfants de ce corps redit par la mort.
- survivez pour moi, sillonner ses routes vers l’inconnu !
- Allez , raconter mon histoire au monde entier et souvenez vous de moi , tel que j‘étais !
- Parce que vous êtes mes héritiers, mes enfants, mon sang.
- Puisqu’ils m’ont assassiné, sauvagement…
- parce que…EUX ,ils m’ont oublié.
- « vivez »
F et Mère : 16/08/2013
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